Etude comparée des nymphes d‘Acentrella et de Pseudocloëon. Considérations phylogénétiques concernant la famille Baëtidae (Ephemeroptera).

Autor/innen

  • Constantin Bogoescu
  • Ionel Tabacaru

DOI:

https://doi.org/10.21248/contrib.entomol.7.5-6.483-492

Abstract

Bei genauem Vergleich der Nymphen von Acentrella sinaica und Pseudocloeon hyalopterum, sind abgesehen von Verschiedenheiten in deren Färbung, klare morphologische Merkmale, die als generische Unterschiede betrachtet werden können, nicht festzustellen. Das Fehlen der Hinterflügelpterotheka bei der Nymphe von Pseudocloëon bietet den einzigen Unterschied zwischen dieser und der Gattung Acentrella. Von anderen Nymphen sondern sich diejenigen der zwei oben genannten Gattungen hauptsächlich durch das Schwinden des Metacercums ab. Die starke Ähnlichkeit zwischen den Nymphen von Acentrella und Pseudocloeon führen uns zur Schlußfolgerung, daß diese beiden Gattungen phylogenetisch viel näher zueinander stehen als Pseudocloëon zu Cloëon und Procloëon, obwohl bei diesen eine Ähnlichkeit durch das Fehlen der Hinterflügel besteht. Unserer Meinung nach, ist in der Familie der Baëtiden die Entwicklung parallel auf zwei Linien vor sich gegangen, einerseits die Gattungen mit einer Zwischenraumader in den Vorderflügeln, anderseits diejenigen mit zwei Zwischenraumadern, wobei auf beiden Linien die schrittweise Verminderung der Hinterflügel zu deren vollständigem Verschwinden führte (Fig. 5).

Résumé

On ne connaissait jusqu'à présent dans la faune paléarctique que les du genre Pseudocloëon; en trouvant la nymphe de P. hyalopterum nous donnons sa description ainsi qu'une clef plus complète, permettant la détermination des genres de Baëtidae d'après la nymphe. En comparant attentivement les nymphes de P. hyalopterum avec celles à'Acentrella sinaïca, exception faite des différences de coloration, nous n'avons pas pu trouver de différences morphologiques si grandes pour avoir une valeur génerique. Le seul caractère précis qui permette de distinguer les nymphes des ces deux genres, c'est l'absence de la ptérothèque postérieure chez la nymphe de Pseudocloëon. La grande ressemblance des nymphes à'Acentrella et de Pseudocloëon nous conduit à la conclusion que ces deux genres sont plus rapprochés phylogénétiquement l'une de l'autre que ne le sont Pseudocloëon, Cloëon et Procloëon, en dépit du fait qu'ils ressemblent par le manque de l'aile postérieure. A notre avis, l'évolution s'est produite dans la famille des Baëtidae de façon parallèle en deux directions, groupant d'une part les genres dont les ailes postérieures sont pourvues d'une nervure intercalaire, d'autre part ceux présentant deux nervures intercalaires; dans les deux lignées les ailes postérieures ont totalement disparu par leur réduction graduelle.

Veröffentlicht

1957-11-30

Zitationsvorschlag

Bogoescu, C., & Tabacaru, I. 1957: Etude comparée des nymphes d‘Acentrella et de Pseudocloëon. Considérations phylogénétiques concernant la famille Baëtidae (Ephemeroptera). - Beiträge Zur Entomologie = Contributions to Entomology 7(5-6): 483–492 - doi: 10.21248/contrib.entomol.7.5-6.483-492

Ausgabe

Rubrik

Artikel
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483-492